© Cécile Guarino-Scailliérez pour Misc

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Travailler et se marrer !

Ok c’est dur un chantier DIY quand on fait quasi tout. C’est surtout long… oh là là… très long… C’est ça au fond le plus dur : tenir la distance. Benjamin l’a toujours dit : « c’est un marathon, pas une course de vitesse ». Il ne s’agit pas de bâcler mais de faire à notre rythme de primo-débutants et, comme je l’écrivais la dernière fois, de PRO-FI-TER !

Sortir le canapé une énième fois, le mettre face au champ et s’y affaler avec les chats. Enfiler la combinaison, le masque, le harnais et les lunettes avant d’attaquer la laine de verre à l’étage et se sentir carrément ridicules. Trouver de la gnôle dans les combles et commencer à se raconter des histoires pas possibles sur la maison. Gratter les murs et ne rien comprendre aux matériaux que l’on met à nu… Rire juste le plus souvent possible !

© Cécile Guarino-Scailliérez pour Misc

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