Celle qui nous nourrit.
Je me souviens d’une édition de Jardins Jardin il y a quelques années aux Tuileries. Mon accréditation presse en poche, je découvrais l’événement en m’extasiant devant toutes les magnifiques serres exposées. Je rêvais au jour où nous aurions un potager florissant à la Dreamhouse (bien qu’il n’était pas encore question de nous y installer pour de bon). Je savais pourtant que travailler la terre nécessite qu’on vive auprès d’elle à temps plein. Le rêve était là, enfoui, il ne demandait qu’à éclore.
La suite de l’histoire, vous la connaissez. Nous vivons à présent dans notre maison, Benjamin a investi beaucoup de temps et d’amour dans notre potager et je n’en reviens pas de tout ce que nous donne la terre dès la première année de sa mise en culture ! Le terrain caillouteux était pourtant peu propice. Mais Benjamin l’a patiemment travaillé, enrichi, nourri et maintenant la terre lui rend le fruit de son travail. Dans le Morvan, le climat est plutôt frais, le printemps arrive tardivement, sans notre serre, il serait impossible à Benjamin de faire pousser ses semis, ses tomates et certaines plantes qui demandent beaucoup de chaleur.
Pour notre serre, nous avons fait le choix de la qualité pour qu’elle dure dans le temps. Le montage demande de la patience mais le résultat est au rendez-vous. Maintenant qu’elle est là, on la bichonne. Je vous mets le lien vers le modèle si vous vous posez la question : c’est une « Aloé » de 9,70 m2 de chez Lams, en verre trempé et aluminium laqué vert. Nous l’avons équipée de lucarnes de toit à ouverture automatique pour réguler l’aération, d’un voile d’ombrage pour limiter les fortes chaleurs, d’une table à rempoter* pour un maximum de confort et j’ai agrémenté le tout d’une guirlande solaire.
* produit offert